La spontanéité des erreurs…La richesse d’un défaut…
Le souhait d’agir en dehors des modes de pensées et de ses dérives…
L’erreur culbute alors dans le plaisir en soulignant d’autres issues tandis que l’imperfection ouvre son talent.
Le « lâcher-prise » savoure la liberté…
L’œuvre s’invente, imprévisible et sans prétention dans une image impromptue.
Christine Le Fort.
dimanche 30 décembre 2007
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